Bio 

Ayant presque toujours vécu à la campagne, j’ai, depuis tout jeune, souvent vadrouillé dans les plaines et les bois environnants à la recherche de champignons, noisettes, châtaignes et vues sur les animaux sauvages.

C’est en 2013, que j’ai commencé mes premières photos avec un bridge FZ62 de Panasonic puis plus spécifiquement en 2017, que j'ai débuté les photos animalières. Plus je découvrais de paramètres à maîtriser, plus je voulais en comprendre les finesses.

Très vite, j'ai fini par acheter mon premier reflex (Nikon D5100), m’offrant notamment plus de possibilités à faible luminosité, puis un second (Nikon D7500) encore plus performant, des objectifs, du matériel... J'éprouvais de plus en plus de plaisirs à partir en mini-expéditions photos sur des territoires plus ou moins "sauvages". Je m'y sens bien et toujours apaisé par le silence et la tranquillité que l’on y trouve.

Je n'ai pas de prétention photographique, je ne suis ni pro, ni semi-pro et me considère comme amateur ayant toujours pour but de m'améliorer et de continuer à explorer ce monde qui nous entoure. Cela ne m'impose, du coup, aucune contrainte et me permet de continuer à considérer mon activité comme un réel plaisir.

J'aime beaucoup la technique d'approche ou technique de billebaude car elle est pleine d'imprévus et me permet d'allier mon activité mentale à mon activité physique (mes sorties peuvent durer jusqu'à 5h et 20kms tout cela avec, parfois, une bonne 15aine de kilos sur le dos), mais celle-ci ne permet pas de revenir systématiquement avec des clichés et poses tant convoités. Peu importe, c'est ce que j'aime. Cette technique impose de la rigueur, de l’endurance, une discrétion maximale, une rapidité dans la prise de vues et l’anticipation de réglages photographiques. Il m’arrive parfois, mais plus rarement, de pratiquer la technique d’affût consistant à attendre patiemment le passage des animaux sous camouflage. Quoi qu’il en soit, je m’impose une règle, même si l’imprévu se produit, il faut, par respect de l’être rencontré,  savoir trouver le compromis ou la distance acceptable pour l’animal, de manière à pouvoir continuer à les voir évoluer dans leur habitat naturel.

Notre nature est belle et très diversifiée, chacun d’entre nous peut contribuer à la préserver.